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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 12:06

Accident de travail mortel hier à Nieul l'Espoir : Le maire de Fleuré, entrepreneur dans le Bâtiment, est mort, écrasé par un petit rouleau compresseur qui a chaviré. Il avait 59 ans.

Jean-Paul Sénéchault est en train de ranger son matériel après un chantier de damage de voie dans un lotissement de Nieul l'Espoir. L'homme, âgé de 59 ans, utilise une rampe pour faire monter son petit rouleau-compresseur à bord de la remorque. Il est au volant de l'engin quand celui-ci bascule. il saute pour tenter d'éviter la chute, mais en retombant il est écrasé par l'un des cerceaux de l'appareil; des cerceaux censés éviter le retournement de l'engin justement.

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 20:18

Deux morts dans un accident du travail à Saint-Chamond : l’entreprise condamnée

Le tribunal correctionnel de Saint-Etienne a condamné ce mardi la société Alcome Fonderie à une amende de 200 000 euros.

La responsabilité de l’entreprise a été reconnue dans le cadre d’un accident mortel du travail, qui avait coûté la vie à deux salariés le 17 février 2009. Le chef d’entreprise a été relaxé.

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 17:57

Un ouvrier de 51 ans est décédé mercredi matin, dans un tragique accident du travail. Le drame s'est joué au sein de la Safem, une petite société de fonderie qui emploie une quarantaine de personnes à L'Isle-d'Espagnac, près d'Angoulême.

Il était aux alentours de 8 heures et l'homme effectuait apparemment des opérations de maintenance sous un moule de 2,5 tonnes situé à 1,5 m de hauteur lorsqu'un élément de ce moule, pesant plusieurs centaines de kilos, s'est détaché, écrasant le malheureux qui est décédé sur le coup.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 14:10

Alors en bac pro section charpente-menuiserie dans un lycée de Rumilly, il avait rejoint une entreprise pour un stage obligatoire et conventionné de fin d’études sur plusieurs semaines.

Ce 16 juin 2010, une ferme de 380kg mal arrimée (il s’agit d’un assemblage de pièces de bois en forme de triangle servant à porter le faîte d’un toit et les chevrons de la charpente) glisse du chariot élévateur et tombe sur le lycéen .

 

 la responsabilité de l’entreprise dans cet accidente est engagée pour le non-respect des normes élémentaires de sécurité sur et aux abords du lieu de chargement. »

La partie civile demande une provision de 100 000 € pour le jeune homme aujourd’hui en fauteuil roulant ainsi que 25 000€ aux parents au titre des préjudices extra patrimoniaux liés aux « tracas de la vie de tous les jours nécessitant des déplacements incessants pour des soins à répétition entre Annecy, Grenoble et Genève. »

La défense de son côté plaide la relaxe pure et simple de l’entreprise contre laquelle le procureur a requis une amende de 15000€.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 10:59

- Philippe Guffroy comparaît à deux titres pour un grave accident du travail, le 22 octobre 2009. En qualité de gérant mais aussi en tant que représentant moral de la société de fabrication de palettes en bois, à Violaines.

C'est une entreprise familiale, créée en 1966, qui produit 5 000 palettes par jour. Le fils a pris la relève. Il est à la tête d'un effectif composé de salariés polyvalents. Chacun peut être amené à prêter main forte à son collègue. Dans le cadre d'une opération de maintenance, un employé, chargé d'enlever la sciure dans une machine, a été sérieusement blessé au cours de la manoeuvre. La manche de son pull s'est prise dans les lames qui continuaient de tourner. Neuf mois d'interruption temporaire de travail ont été délivrés par le médecin légiste. Depuis, le salarié n'a toujours pas repris son activité.

Des négligences
Les représentants de l'inspection du travail ont rapidement remarqué des imperfections dans le fonctionnement de l'entreprise. D'ailleurs, bien avant l'accident, de nombreux courriers avaient notifié à la direction de la société les dispositions à prendre pour la sécurité des salariés : formation, équipement adapté (gants, chaussure de sécurité...), affichage spécifiant les particularités de l'engin, etc. Le matériel n'avait subi aucune transformation depuis son installation en 1987. Le rapport dresse ainsi une liste de négligences à corriger, en vain. En 2008, un avertissement a été adressé au gérant pour l'inciter à faire des efforts sur la formation. Il devait également se soumettre à une obligation de prendre des dispositions pour assurer la sécurité des salariés. Par ailleurs, le salarié blessé n'avait pas les qualifications pour travailler sur la machine, mal équipée en système d'arrêt d'urgence.
Philippe Guffroy n'accepte pas les griefs qui lui sont reprochés, et accuse le salarié de mentir sur le rôle que l'entreprise lui a attribué. L'avocat de la partie civile déplore le peu d'égard du représentant de l'entreprise pour les valeurs humaines. « La sécurité a été sacrifiée sur l'autel de la rentabilité ». Le salarié a subi plusieurs opérations et les doigts de sa main ne sont toujours pas fonctionnels, malgré des soins prodigués durant trois mois d'hospitalisation et huit mois en hôpital de jour. La partie civile réclame 3 500 euros de provision, dans l'attente de pouvoir chiffrer de manière précise les dommages et intérêts. Le procureur réclame deux amendes de 7 500 et 4 000 euros. La première adressée à la personne morale de l'entreprise, la seconde à son représentant.
L'avocate de la défense plaide pour une « entreprise normale » et dénonce les exigences non justifiées par l'inspection du travail, car l'administration ne prendrait pas suffisamment en considération la réalité du terrain. « L'entreprise Guffroy, ce n'est pas Zola, lance la défense. Un ouvrier polyvalent, c'est un gars qui ne sait rien faire ». Le chef d'entreprise doit adapter le travail à exécuter en fonction des aptitudes de ses employés, explique la défense. « Les salariés ne sont pas polyvalents, mais interchangeables », nuance l'avocate, qui dénonce avec véhémence la version du salarié quant au fonctionnement de la société : « Il a menti ! » Le tribunal a décidé de s'accorder un délai de réflexion avant de prononcer son jugement, qui sera rendu le 28 février.

« La sécurité a été sacrifiée sur l'autel de la rentabilité ».

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 11:41

Samedi, deux ouvriers ont trouvé la mort, happés par la machine-outil alors qu'ils procédaient à une opération de maintenance.

Après le dramatique accident du travail de ce week-end, des mesures de chômage partiel pourraient être prises sur l’un des sites de la scierie Piveteau, à Sainte-Florence, près de La Roche-sur-Yon. En effet, l’énorme machine-outil dans laquelle deux hommes ont trouvé la mort est au cœur d'une chaîne de production, où travaille près d'une vingtaine de personnes. Placée sous scellée pour les besoins de l’enquête, elle bloque une partie de la production.

 Cet après-midi a lieu une réunion exceptionnelle du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l'entreprise, en présence de l'inspection du travail. Le procureur de la République vient de nommer un expert. Une décision rapide afin de réduire les risques de chômage partiel, mais aussi d'apporter des réponses aux questions des familles et des salariés. L'expert devra notamment déterminer si les normes d'utilisation ont été respectées.

 

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 18:39

Un salarié de l'entreprise Siat-Braun d'Urmatt est décédé des suites de ses blessures, vers 13 h 15. Il aurait été happé la vis sans fin d' une machine. la victime est un homme âgé d'une cinquantaine d'années .

L'entreprise Siat est un des leaders européens en matière de façonnage de bois en long et vient de mettre en route cette année une unité de fabrication de pellets pour chauffage à granulés.

 

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7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 23:48

Il y a trois ans, un salarié d'Eberspacher, sous-traitant automobile de Saint-Michel,  était victime d'un accident du travail de sa main droite dans lequel il a laissé trois doigts.

 La machine, une presse présentait un dysfonctionnement au niveau du système de commande. D’une force de 80 tonnes, elle est retombée sur les mains du salarié, un régleur-opérateur de 28 ans, au cours d'une manipulation.

Selon l'employeur, elle aurait été démontée et remontée, subissant quelques modifications. Classée dans une catégorie de machines parmi les plus dangereuses, elle aurait dû faire l'objet d'un contrôle tous les trois mois.

 De plus, le régleur-opérateur n'était pas habilité à la manipuler et n'avait reçu aucune formation adaptée.

Le tribunal a considéré que l'entreprise était coupable et l'a condamnée à verser 20 000 € d'amende, auxquels s'ajoute une somme complémentaire de 1 500 €.

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 11:56

Le gérant de l’entreprise de maçonnerie vient d’être condamné pour « blessures involontaires » et « violation d’une obligation de sécurité ».

Jeudi 3 février 2011, un accident du travail se produit  sur le chantier d’agrandissement de l’entreprise Granger. Alors que deux ouvriers travaillent à hisser une poutre de dix mètres de long sur deux poteaux, la pièce se dérobe. Malgré le bon réflexe du grutier qui parvient à maintenir l’imposant élément suspendu, les deux salariés chutent lourdement sur le sol gelé.

Les deux hommes, sérieusement blessés, se sont vu délivrer douze mois d’ITT (Incapacité totale de travail) pour l’un, et trois mois d’ITT pour l’autre.

Sur ce chantier, j’ai investi 150 000 euros dans la sécurité  […]

Le patron comparaissait pour n’avoir pas mis à la disposition de ses salariés du matériel adapté à ce type de travail en hauteur. La justice lui reproche, en l’occurrence, de ne pas avoir imposé l’utilisation de nacelles, pourtant disponibles sur le chantier. Pour la pose de la première poutre de la série, il avait été décidé de s’en passer.

Suivant les réquisitions du ministère public, le tribunal a prononcé une peine de six mois de prison avec sursis.

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 10:30

Le constructeur français a été condamné pour homicide involontaire suite à l'accident du travail qui avait coûté la vie à l'un de ses salariés en 2007

100.000 euros, c'est le montant de l'amende dont devra s'acquitter le groupe PSA. Ainsi en a décidé le tribunal correctionnel de Montbéliard (Doubs), jeudi 29 novembre. Le constructeur français a en effet été condamné pour homicide involontaire après le décès en 2007 de l’un de ses employés.

A l'époque des faits, un prestataire qui intervenait dans l’usine d’emboutissage de Sochaux, avait été écrasé par une presse de 32 tonnes, suite à une mauvaise manœuvre d’un ouvrier de Peugeot.

L’employeur de la victime, la société de maintenance Maser, a pour sa part écopé d'une amende de 15.000 euros dont 10.000 euros avec sursis.

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